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LA PERVERSITÉ DU FOU (interdit au moins de 18 ans)

QUAND LE SERPENT S'EN MÊLE:

Bienvenus, frères non lecteurs, dans l'enfer du désir et de la main dans le caleçon. Là ou vous dépose la solitude et les fantasmes sans issue...

Bienvenus dans l’obnubilation du pervers, du sadique vicieux et complètement assumé, parce que je vous emmerde, que je n'ai aucune limite et que j'encule les interdits...

Bienvenus dans la poésie des roses et de l'indélicatesse, des petits secrets et des «liaisons dangereuses», bienvenus chez le mort-vivant, isolé et fou... 

Bienvenus chez le non aimé, poète des photographies, parce que la femme est belle, désirable, parce que je suis un poète masculin solitaire et  que j'ai la moutarde qui me monte au nez... 


Alors, je ne pouvais qu'en faire une page! 
Ma muse sait se faire belle pour moi
Quand je mourrai, elle me rejoindra



Les dunes du désert sont belles comme les fesses d'une femme, envoûtantes, lisses, douces, laissant rêveurs et près à l'abandon.
Là, la grotte des plaisirs interdits, offerte et sans complexe ni pudeur, généreuse et réclamant la passion. La nuit est telle le sable recouvrant de son voile les secrets des folies du corps. C'est l'exode des sens vers une destination stellaire inconnue, chaque fois renouvelée et exaltante.
Cette fois, mes frères non lecteurs, l'escalier en spirale descend vers les paradis infernaux des surprises et des délices du sexe sauvage, vrai et pur...



FESSES

Elles sont attirantes ou alors très repoussantes,
Mais aussi plus plates que des planches de sapin.
Quoi qu'il en soit, elles restent sublimes, enivrantes
Et si douces quand on les caresse avec la main...

Fesses! Fantasmes infidèles, furieux et fatals,
Que vous inspirez aux regards gourmands,
Vous êtes belles, délicates, presque infernales.
Devenez le repos du prince, parfois charmant.

Votre trésor est une sombre et dangereuse fleur,
Rose magnifique si elle ne dégage pas d'odeurs.
Je suis votre plus profond et envoûté admirateur,
Vous avez une place particulière dans mon cœur.

Vous réchauffez, généreuses, les têtes coupables,
Vous savez pardonner les accidents regrettables.
Quel bonheur que le plaisir anal, s'il est partagé,
Pénétrer la fleur du mal est un désir inavoué...
                                                   Feuille Qui Fume



LE ROCHER À MOULES





   















Je suis le poète fou, furieux et dangereux, Feuille Qui Fume pour vous servir...
C'est tellement bon d'écrire au milieu des fions.
Je vous accepte dans mon cimetière, je suis le mort qui supplie le retour de la grande foutrerie!

ATTENTION! N'ALLEZ PAS PLUS LOIN

J'ENLÈVE L'ÉCHELLE, RESTEZ ACCROCHEZ!

L'innocence est fragile mais possède des ailes
Dans mon enfance, j'ai même été son co-pilote...
Mais avec l'âge mon épée est devenue rebelle,
J'ai chassé des proies qui portaient une culotte.

Est-ce que tu admires mon épée de diamant?
En Amérique on l'appelle le grand serpent blanc.
Certaines sont parties à sa recherche désespérément,
Dans les livres d'histoires on la nomme autrement.

La destructrice, la pourfendeuse, l'ouvreuse de moules,
La grande vadrouille aux couilles d'or reluisant,
La catapulte, l'artillerie lourde à semoule,
La sainte trique, la remplisseuse de trous béants.

Le démonte pneu, la donneuse d'orgasmes,
La tête chercheuse et même le marteau pilon.
Toujours au loin on entend ses spasmes,
Quand elle a fini de démolir un petit fion...

On m'a honoré au Japon comme un empereur,
Sur le champ de bataille j'avais l'épée de terreur.
Au Congo j'étais devenu le grand gorille blanc,
Même ses rois craignaient son... dévoilement.

Elle a forée, seule, le tunnel sous la manche
Elle se nomme ouvre boîte dans certains pays.
Fatiguée c'est une douce colombe blanche
Mais c'est si rare et elle peut tuer mamie!

D'ailleurs, aucune croûte ne lui a jamais résisté,
Elle a le record du monde du litre de pue écoulé.
Rien ne lui résiste, pas même le béton armé,
Un jour de colère toute une forêt elle a coupée.

Un après-midi de promenade un cheval elle a tué
Quand je l'emmène en balade il vaut mieux se méfier.
Un jour ou j'ai rendu visite à un couvent, 
Plus aucune sœur ne voulut prêter serment.
                                                                                          Feuille Qui Fume 


Bienvenus dans la perversion du fou, Oh! mes sœurs et frères non lecteurs, bienvenus dans l'enfer du solitaire, dans les fantasmes du poète maudit, dans l'oeuvre noire d'un cryptique humain, destiné aux égouts et qui aime les fesses des belles femmes. Je désespère, car il y a de plus en plus de gros boudins imbaisables, de vieilles momies qu'il faudrait repasser avant usage et d'énormes vaches meuglant leur désespoir. 
La femme a non seulement décidé de prendre sa revanche sur l'homme violent, vulgaire et jouisseur, mais elle a aussi pris le pouvoir, simplement en jouant avec nos baguettes de connards manipulés par une fente rose et une bouche pleine de promesses. Parfois, avec une simple main, elle obtient ce qu'elle veut et vous êtes trop soulagés pour le comprendre... Je vous plains, car, de ma tombe, vous n'êtes que de faibles hommes perdus dans les tourments de la séduction et des miroirs. Les hypnotiques charmes féminins vous réjouissent mais vous envoûtent et vous perdez le sens de la raison. C'est ainsi que vous êtes devenus serviles, bande de cons à la bite qui suinte...




DIGRESSION:
Resplendissante et magnifiquement sereine,
Tu laisses à l'homme l'illusion de tout contrôler,
Et c'est là qu'en irrésistible et superbe reine,
Tu prends possession d'un idiot raide et manipulé...
  

VIVE LE DEATH MÉTAL ET LE RETOUR DE LA GRANDE FOUTRERIE!
Petit ange qui brille sous un astre divin,
Bientôt ta fragile innocence sera chassée.
Petit ange aux ailes blessées par le vilain,
L'heure est enfin venue de te révolter!
Juste poser mon visage et me laisser aller à pleurer de bonheur...


Toi, enfant perverti et devenu grand,
Contemple les beautés inaccessibles...
Je te devine, c'est tellement tentant,
Mais n'en fait jamais ton ignoble cible.



Surtout soit prudente, jeune pucelle,
Ne court pas dans les bois la nuit,
Le prédateur attend juste une étincelle,
Pour assouvir les ordres de sa maladie.

Tous les insectes qui peuplent les clairières
Attendent qu'enfin ton corps leur soit offert.
Ils sont assoiffés de ta fraîcheur et la douceur
De tes jeunes chaires, sous leurs assauts, meurt.

Prend garde à toi quand tu marches seules,
Tu pourrais chuter et tomber dans leurs gueules.
Ils sont à l'affût des faibles et tels des démons
S'ils le peuvent ils effaceront jusqu'à ton nom.

Les gouttes de pluie ruisselleront sur ta peau dénudée
Et la lune dévoilera tes dunes mortes, pâles et crémeuses...
Blanche colombe tu ferais mieux de fuir sans tarder,
L'innocence attire les fous et l'ombre est ténébreuse.

Reste toujours vigilante car ils sont, de toi, tout autour,
L'odeur de ta fleur et ta sublime beauté les ensorcellent...
Les voilà qui papillonnent en insultant ton amour,
Si tu les devines, tu percevras leurs pièges mortels.

Alors sois prête à t'enfuir, sauve ton innocence!
Contient tes désirs et ne marches jamais la nuit. 
Les yeux de la bête observent toutes les distances,
Penses aux larmes de ton père si tu perdais la vie.

Prend garde à toi jeune fille au cœur fragile et pur,
Offre tes charmes à l'honnête plutôt qu'au riche gamin.
N'ais jamais confiance en l'homme qui se sent fort et dur,
Ne crois qu'en toi et nettoies les contours de ton chemin.
                                                                                                                     Feuille Qui Fume  
      
HOMMAGE À UNE VIEILLE BEAUTÉ, JAQUELINE BISSET.
Tu as incarné la beauté naturelle et assagi l'impudence des hommes. 
Parce que tu étais magnifiquement belle, je te met un coup de gomme...

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